Le procès des braqueurs de Kim Kardashian, ouvert le 28 avril 2025 à Paris, s’est rapidement transformé en phénomène médiatique international. L’apparition de la star au tribunal, le 13 mai, a déclenché un pic d’attention, illustrant parfaitement l’effet multiplicateur des célébrités et influenceurs dans la couverture médiatique contemporaine.
Une couverture médiatique hors normes
Avec 31 370 mentions dans la presse et en ligne et une audience potentielle de 41,1 milliards, l’affaire a dépassé les standards habituels. En parallèle, 12 500 mentions sur les réseaux sociaux ont généré 61,3 millions de reach, activant plus de 10 000 utilisateurs. Le traitement médiatique s’est articulé autour du contraste entre la star mondiale et les « papys braqueurs », l’ampleur du traumatisme, et le caractère spectaculaire du vol de 2016.
Le témoignage de Kim Kardashian : catalyseur d’attention
Le 13 mai, jour de son audition, marque le sommet de la couverture dans les médias et sur les réseaux sociaux. Sa présence à Paris a mobilisé près de 400 journalistes, dont un quart venus de l’international, et déclenché une avalanche de publications sur X, avec un vocabulaire structurant comme “Palais de Justice” ou “procès des braqueurs”. Des comptes média, généralistes comme spécialisés (BFMTV, Blick_fr…), ont amplifié la portée de l’événement.
Influenceurs et viralité : les leviers de l’amplification
La présence en ligne de Kim Kardashian (plus de 365 millions d’abonnés sur Instagram) a été un moteur clé de l’engagement. À la viralité des mèmes et anecdotes (fuite à vélo, méconnaissance de la victime par les braqueurs) s’ajoute un engagement émotionnel fort, avec de nombreuses réactions de soutien et de critiques sur la médiatisation de l’affaire.
Comparatif avec d’autres procès médiatisés
L’affaire Kardashian dépasse de loin d’autres procès récents en France :
- 2,4 fois plus de mentions que celui de Gérard Depardieu (12 868 mentions)
- 2,6 fois plus de reach (41,1 Mds vs. 15,7 Mds)
En revanche, sur les réseaux sociaux, le procès de P. Diddy affiche des chiffres massifs : - 237 800 mentions (contre 12 500 pour Kardashian)
- 127 600 personnes engagées (contre 10 100)
Mais malgré ce volume, le reach moyen par mention est 25 fois plus élevé dans l’affaire Kardashian, preuve d’une meilleure diffusion via des canaux à forte visibilité comme la télévision et la presse premium.
Pourquoi un tel impact pour Kim Kardashian ?
Trois facteurs clés expliquent l’ampleur du phénomène :
- Un effet amplificateur des influenceurs et comptes média à forte audience.
- Une hiérarchisation médiatique fondée sur la notoriété, où le nom “Kim Kardashian” fonctionne comme un aimant à clics.
- Une internationalisation des conversations, relevée dans les trois langues analysées (français, anglais, espagnol).
Une affaire symptomatique de notre ère médiatique
Avec une portée TV 19 fois supérieure à celle du procès P. Diddy, et 4 fois supérieure à celui de Gérard Depardieu, le procès Kardashian illustre l’évolution des dynamiques de l’information. Peu de mentions, mais des relais puissants. Une notoriété mondiale qui transcende les frontières. Et un public toujours plus avide de récits mêlant justice, people et émotion.
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